Florence Durand pratique la méthode de l'entretien psychanalytique dans les règles éthiques de respect et confidentialité. Prendre son temps, celui de quelques séances ou d'une cure progressive, dans un espace de liberté rare.
Trouver un équilibre, une stabilité, en quelques séances, ou dans une cure régulière, aux moments de vie qui réveillent les blessures psychiques. Chacun peut comprendre la détresse psychologique, récente, ou remontant du passé, à l'occasion de situations traumatisantes, telles qu'emprise affective, rupture, longue maladie, deuil,... La psychanalyste souligne le lapsus, ou l'acte manqué, ce qui noue, ou ce qui est à dénouer.
Après une séance préliminaire en face à face, peut s'ouvrir le temps de la cure. Des entretiens à distance, sont envisageables suite à un premier rendez-vous en présentiel.
- La durée moyenne d'une séance est de 45 minutes
- Entretien préalable : 30 euros - Le rythme et la durée de la cure permettront de fixer le prix des séances d'un commun accord.
- Le paiement s'effectue à chaque séance - Non pris en charge par la Sécurité Sociale - Les séances peuvent parfois être remboursées par certaines mutuelles.
Ass.RC MAAF
Plus de 12 millions de personnes en France recourent à un "psy"
Parfois pour un simple mal-être ou une situation grave qui désespère. Quand on se sent contrôlé par des symptômes qui se répètent, trouver l'aide d'un professionnel permet de mieux comprendre une situation toujours unique et singulière, le plus souvent réversible. Dans le Vaucluse ou les Bouches-Du-Rhône, un plan territorial assure le soutien des communautés professionnelles pour l'accessibilité des soins et la prévention de la santé psychique. On trouve des spécialistes en institutions : centre médico psychologique, institut thérapeutique ou centre hospitalier. Ils sont aussi disponibles en proximité dans son quartier ou son village. Ils travaillent souvent en réseau avec d'autres intervenants en psycho-social, sage-femme, infirmier, éducateur, orthophoniste, osthéopates,....
Un premier rendez-vous qui rassure évitera un repli sur soi qui ne change rien. Pourtant, distinguer les compétences n'est pas toujours aisé, voici quelques pistes pour faire la bonne rencontre :
- le psychiatre cherchera un diagnostic de trouble psychique, qui nécessite un traitement chimique ou un temps de repos en milieu hospitalier. Ce médecin spécialiste, souvent indiqué par le généraliste, pourra recommander son patient stabilisé, à un psychologue clinicien, formé à l'université, ou à un psychanalyste, membre d'une association de psychanalyse reconnue par l'Etat (nationale ou internationale).
- le psychologue clinicien, après une évaluation par questionnaire, appliquera sa compétence technique. Elle ou il travaille sur les comportements ou la cognition, au cours d'une thérapie brève, partiellement financée par une caisse d'assurance maladie.
- le psychanalyste après des entretiens préliminaires, permettra une découverte de son fonctionnement psychique, lors d'une série d'entretiens ou d'une une cure approfondie. Au delà de la réduction des symptômes, le patient devenu l'analysant, pourra prendre en charge sa santé mentale en harmonie avec sa santé physique. Des tarifs individualisés permettront le suivi avec le complément de certaines mutuelles.
Comme ici, partout dans le monde, italiens, espagnols, allemands, et aussi argentins ou japonais, ont régulièrement recours à la psychanalyse. Adolescent, adulte, ou enfant et parent, ils vient dire "ce qui ne va pas" à celui ou celle qui ne les juge pas. "Je" est le seul à pouvoir dire où "ça fait mal", le psychanalyste pourra tout entendre pour relever tel ou tel point, source possible d'un dénouement. Alors "Je" pourra changer, en un "moi" robuste, plus près de sa "vérité".